Lire sur Nos Années Cruelles, la chronique de Jean Bourgeon du 25 avril 1918 :
« Depuis un peu plus d’un mois un mystérieux « piqueur de femmes » hante les colonnes des journaux nantais… et les Nantaises (…) L’individu pique partout, dans la rue, dans le tram et même dans la basilique Saint-Nicolas tantôt avec un couteau, tantôt avec une épingle (…) » .