samedi, 29 janvier 1916

Maisons closes de campagne

Les permissions sont rares et l’abstinence sexuelle pèse, surtout quand les cantonnements sont situés loin des villes et de leurs « maisons closes ».

 

Le général Guillaumat écrit à son épouse :

« Je suis invité par l’autorité supérieure à provoquer discrètement l’établissement de quelques « maisons closes » à l’usage des militaires qui n’ont pas trouvé d’amies. Nous allons naturellement charger Auriscote [son ordonnance] de s’aboucher avec les courtiers de ce commerce. On aura fait tous les métiers ! »