lundi, 29 mars 1915

L’oreiller du soldat

Il y avait l’ « Œuvre du tricot », l’ « Œuvre du couvre-pieds », il y a maintenant l’ « Oeuvre de l’oreiller du soldat ».

 

Dans Le Populaire, les responsables de cette association remercient Mme Cosquer, institutrice à Rouans, pour son « très important envoi de charpie de laine et de plume… qui a été confectionnée ou recueillie par les petites écolières de Rouans et plusieurs personnes charitables de la commune. »

 

Dans les écoles, surtout celles de filles, les heures de travaux manuels augmentent et sont généralement consacrées aux « œuvres de guerre » pour « mobiliser » les enfants.