Février 2019 : les 100 ans du nom Clemenceau !

Le 14 novembre 1918, le Conseil municipal de Nantes demandait

que le nom de Clemenceau soit donné au lycée de la ville.

Début février 1919, un décret ministériel ratifiait ce choix.

Cent ans plus tard, le Lycée Clemenceau se souvient.

 

 

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Durant le débat avec les élèves, de gauche à droite :

Jean GARRIGUES, Jean GUIFFAN et Maximilien SCHNEL

Dans une Salle Thomas Narcejac, quasiment pleine et essentiellement d’élèves (classes de Première, CPES, Lettres supérieures) avec leurs professeurs d’histoire, et en présence de plusieurs autorités, accueillies par la proviseure, représentant la Région, la Ville et l’Académie, s’exprimèrent les historiens Jean Guiffan puis Jean Garrigues.

Carton invitation Février 2019 - filigrane

Le Comité de l’Histoire du Lycée, grâce à un ancien élève membre du Cabinet de la ministre des Armées, avait obtenu la venue de Geneviève Darrieussecq, secrétaire d’Etat auprès de la ministre des Armées, en charge notamment de la Mémoire.

Malheureusement une coupure, pour raison technique, de la ligne SNCF Paris-Nantes, obligea la secrétaire d’Etat, compte tenu de ses autres engagements, à renoncer à poursuivre son voyage au-delà du Mans.

Son conseiller, Maximilien Schnel, poursuivit seul le voyage … par Rennes ! Arrivé avec deux heures de retard sur l’horaire prévu (tout comme Jean Garrigues, invité par Joël Larre, son ancien camarade de Prépa à Paris et aujourd’hui professeur à Nantes), il put néanmoins être dès 14 h au lycée, lire, en ouverture, le discours du membre du gouvernement et rester le reste de l’après-midi jusqu’à la présentation dans le parloir d’expositions réalisées sur panneaux par des élèves de Première (vie et oeuvre de Georges Clemenceau), par des élèves de Lettres supérieures (enjeux du fait de donner un nom à un lieu) et, sous vitrines, par le Comité de l’Histoire (archives d’époque sur les liens de Clemenceau avec le lycée dont, prêtée par l’Amicale des Anciens Elèves, copie d’une correspondance entre Clemenceau et l’Amicale en 1918).

Jean-Louis Liters